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ALBUM 1998 | des images dans le linoleum. |
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POCHETTE : pierric GIBERT.
Article de presse paru dans FEAR DROP 6. Chronique de Denis BOYER. |
Elle semble devoir autant aux arts plastiques qu'aux
volontés musicales, l'oeuvre de léo PLASTAGA. A l'opposé
des courants minimalistes, il déploie un maximum d'influences sur
autant de place qu'il leur sera nécessaire: musique symphonique,
rock, techno, proto-techno à la Kraftwerk, musique baroque, orientale, violons slaves...Loin de se gêner, ces couleurs s'organisent d'une façon marbrée et quelque peu insouciante qui rappelle le linoléum sur la pochette (on imagine le long travail pour que ces collages ressemblent à tout sauf à des collages). Par moment, le maximalisme de style nous fera frôler la surcharge (comme une collision entre Meat Beat Manifesto et John Oswald), mais d'autres passages feront regretter que le terme fusion ne soit pas initialement adapté à ce disque. Au gré de la teneur du mélange, puisqu'aucun ingrédient ne conserve longtemps la même place (si ce ne sont les rythmiques électroniques), la texture évolue, la teinte des morceaux se modifie, s'humanise ou se mécanise, ségaye ou s'aggrave. Le premier CD cyclothymique pour modernes auditeurs globe-trotters. |
ALBUM 1999 | MUSE, spectacle des MUSARTS. |
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POCHETTE : laurent SADRIN
Sur ce CD on retrouve la griffe acérée de Léo Plastaga.Pourtant cet album ne ressemble pas au précédent. La griffe se transforme en patte de velours.Seize morceaux comme seize perles d'éternité offertes à seize muses comblées, visitent l'histoire et la mémoire de la musique.Des sons qui peuplent notre inconscient collectif. Ludovic Bilger.
ALBUM 2002 les machines ont elles une âme? Vol 1
POCHETTE : leo PLASTAGA//marceau MARCEAUX
Article paru dans ANALOG PLENUM 33. Chronique de KHYLVYH |
Le contenu musical est d'une richesse époustouflante
et mêle de nombreuses influences. Chaque pièce est un travail très différent et ne constitue pas un courant particulier.Ce disque ressemble plus à un travail de collage et de mixage pointu,où chaque chose est à sa place et aucun titre donné au hasard.Il en ressort beaucoup de caractère et une grande maturité. |
ALBUM 2002 | DURALEX... Nous avions inventés les anges. Michel Chevallereau: chant et textes |
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ALBUM 2004 | Le BAROQUOÏDE |
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Léo LE SORCIER DU SON: A travers la musique de léo c'est l'âme des machines qui transpirent, l'envoûtement est tel que l'imagination excitée par les sons déborde de l'oreille et envahit la vue. Ludovic Bilger |
ALBUM 2006 | GYROFLEUR |
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